Jérôme a acquis en août dernier la nouvelle Ford Focus Hybride Flexifuel E85. Trois mois après, il dresse un premier bilan très positif de son achat.
Passionné par la Première guerre mondiale, Jérôme travaille dans l’audiovisuel des armées. On pourrait le croiser lors d’un reportage à bord d’un véhicule de l’armée française. Mais aujourd’hui, c’est d’un tout autre véhicule qu’il s’agit. En effet, Jérôme a pris possession en août dernier de sa nouvelle Ford Focus Active. Fidèle à la marque depuis toujours, il a opté cette fois-ci pour le modèle Flexifuel Hybride E85, l’un des tout derniers modèles de la gamme lancée par Ford. « Ce qui m’a convaincu de passer à l’E85, c’est bien évidemment l’aspect économique. Je parcours environ 20 000 km par an et les chiffres parlent d’eux-mêmes. Avant, avec mon véhicule Ford Kuga Diesel, je dépensais en moyenne 200 euros pour 3 000 km. A présent, je dépense seulement 100 euros pour la même distance. La surconsommation parfois évoquée ne se produit en fait que lorsque j’adopte une conduite plus sportive, à hauteur de 20 %. Toutefois, je roule principalement avec le régulateur de vitesse et je m’applique à être le plus souple possible dans ma conduite », précise Jérôme qui préfère profiter sereinement de ses longs trajets en voiture.
« Pour moi, l’E85, c’est le bon compromis »
Jérôme est aussi sensible à l’impact environnemental de l’E85. « Je tourne à la betterave en quelque sorte et j’espère contribuer par cet achat à laisser une meilleure planète à mes enfants. Question conduite, je ressens le même plaisir et les mêmes sensations qu’auparavant ». Les premières stations E85 se situent à environ 15 km de chez lui que ce soit à Mourmelon-le-Grand, Reims ou Châlons-en-Champagne. Le fait de pouvoir rouler indifféremment à l’E85 ou au SP95-E10, en toute proportion dans un même réservoir, l’a rassuré et a fini de le convaincre de passer à l’E85. « Je ne risque pas la panne sèche. Pour moi, le bioéthanol, c’est le bon compromis. Il faut démocratiser l’E85 et espérer plus d’engagement sur le long terme et de la constance de la part des pouvoirs publics en faveur de solutions meilleures pour notre porte-monnaie et pour notre empreinte écologique, qu’il s’agisse du maintien de la gratuité de la carte grise ou de l’attribution de la vignette Crit’Air en fonction de réelles performances environnementales », conclut-il.
